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9 février 2009 1 09 /02 /février /2009 08:48

Ma grande dame

Ma grande dame à moi, peu de gens la connaissent, car elle n'a jamais fait parler d'elle dans les médias.

Elle ne se faisait jamais remarquer, et restait toujours à sa place.

Ma grande dame à moi, en fait, n'était pas très grande. Elle mesurait 1,50m,et avec l'âge, perdit sans doute encore quelques centimètres...

Ses mains épaisses et rêches, dont les pouces méchamment tordus par des rhumatismes, ne savaient plus tenir correctement un crayon, ne se prêtaient plus aux caresses depuis bien longtemps. L'enfant que j'étais, les repoussait d'ailleurs sèchement, quand elle essayait de le faire...

Ma grande dame à moi n'avait pas de prétention particulière, sauf peut-être celle d'élever ses enfants dans la droiture , l'honnêteté et le respect envers autrui.

Ma grande dame à moi n'était que tendresse, amour et dévouement. Elle n'aima qu'un seul homme, qui n'était lui-même que sagesse et discrétion.

Ma grande dame à moi se voua corps et âme pour sa famille et les autres... Envers ses parents, ses frères et soeur, alors qu'elle n'était qu'une enfant, envers son mari et ses six enfants, en devenant une femme au foyer accomplie, envers les plus démunis qu'elle, quand ses enfants eurent quitté le nid.

Ma grande dame à moi aurait aimé devenir institutrice, si la vie lui avait accordée cette chance. Elle adorait lire des romans, et surtout écrire de longues lettres à sa famille éloignée, pour ne pas risquer de couper les ponts...

Ma grande dame à moi, je ne l'ai jamais entendue se plaindre. Elle semblait heureuse, malgré tous les sacrifices qu'elle eut à accomplir, jour après jour, sans jamais penser à elle...

Même quand elle perdit son âme sœur, malgré son chagrin, elle se montra digne et sut sourire à ses enfants pour les rassurer sur son sort...

Ma grande dame à moi, c'est mon modèle, mon guide, mon soutien, encore maintenant, longtemps après sa disparition...

Ma grande dame à moi se prénommait Marcelle, et c'était ma maman.
 

                                                                                           
Babeth
                                                                      
    http://babeth.lareveuse.over-blog.fr

 

 


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7 février 2009 6 07 /02 /février /2009 20:00


Jeanne.


Pour moi elle a toujours été vieille et insignifiante, une toute petite bonne femme grise et noire aux longs cheveux blancs noués en chignon sur la nuque. Elle était là dans mon enfance à s'occuper de mes deux grands cousins. Une petite souris discrète qui chantait parfois aux réunions familiales. Elle me paraissait tellement éteinte, presque muette. C'est bien plus tard que j'ai compris combien elle avait passé sa propre vie sous silence pour s'occuper des siens.


Jeune fille elle a peut-être aimé, mais il a dû passer à côté d'elle sans la regarder tant elle était peu attirante avec ses dents de cheval et ses yeux tombant. Sa mère a sans aucun doute entravé toute tentative amoureuse, elle avait trop besoin de sa grande fille serviable, d'ailleurs un seul de ses cinq enfants s'est marié, sa benjamine et qui a si mal fini, avec ce mari voyageur, et qui a quitté le monde laissant trois orphelins dont le dernier avait à peine 18 mois.


Jeanne va les prendre sous son aile affectueuse et les protéger souvent de la rigueur éducative de la mère. Elle va, en cette époque difficile, poursuivre son petit rôle de servante dévouée pour leur permettre de grandir, et courir les petits travaux pour compléter les faibles ressources familiales. Quand ils seront adultes, elle tentera de s'éloigner du giron despotique, surtout après les décès successifs de ses frères, de son père. Mais elle revient près du tyran maternel et trouve la force de le soigner jusqu'au bout.


Et quand un de ses neveux se trouve en grande difficulté elle accourt pour les deux enfants survivants dont il ne peut prendre la charge.


C'est ainsi que je l'ai connue, toute blanche déjà, si petite et silencieuse, les yeux sans larme parce qu'elle les avait déjà toutes versées et des livres sur les genoux, Victor Hugo dont elle sut longtemps déclamer quelques poèmes.


Jeanne s'en est allée petitement comme elle vécut. Le dernier de ses neveux encore en vie décida qu'elle ne pouvait plus rester seule, elle tombait sans cesse de son grand lit solitaire. A l'hospice elle ne dura qu'une semaine, sans gémir comme à son habitude.


Lorsque j'ai lu Félicité de Flaubert elle m'est revenue toute entière cette grande tante qui ne s'occupa jamais d'elle. Est-ce pour autant une grande dame ? Je crois que personne ne l'aurait qualifiée ainsi. Mais pour moi avec le temps qui a passé, le temps qui a compris qu'aucune n'est grande ni petite seulement que certaines un peu plus que d'autres ne savent vivre pour elles, elle devient dans mon souvenir plus grande que dans mon enfance, peut-être parce que j'ai entendu souvent combien il n'y avait pas plus grand cœur qu'elle : un cœur simple écrirait Flaubert.


Polly


http://mpolly.over-blog.com




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7 février 2009 6 07 /02 /février /2009 09:34

                                 

     Triptyque


Il est des livres qui viennent à vous par le hasard des rencontres et, lorsqu'on les a goûtés, vous hantent et leur auteur avec.


Elles forment un peu comme un triptyque en moi. Elles, c'est-à-dire Virginia, Sylvia, et Alejandra. Trois grandes dames de la littérature. Trois femmes qui ont en commun d'avoir cultivé une terrible volonté dans l'acte d'écriture, une dépression chronique, une souffrance et des angoisses telles qu'elles se suicideront toutes trois : Virginia Woolf se noiera les poches remplies de pierres, Sylvia Plath s'asphyxiera par le gaz et Alejandra Pizarnik par je ne sais quel moyen. Les deux dernières encore dans leur jeunesse.


Je reste fascinée par leur extraordinaire volonté de se donner vie par l'écriture, et par la qualité de ce qui nous est donné : une poésie et une prose qui s'infiltrent en nous jusqu'à l'os.


Ecorchée vive Virginia quand tu écris dans ton Journal : « Pourquoi la vie est-elle donc si tragique ? Si semblable à une bordure de trottoir au-dessus d'un gouffre ? Je regarde en bas, le vertige me gagne ; je me demande comment j'arriverai jamais au terme de ma route. »


Ecorchée vive Sylvia, dans ce poème de Wuthering Heights

« Les horizons m'encerclent comme des fagots

Qui penchent, disparates, et pour toujours instables.

Il suffirait d'une allumette pour qu'ils me réchauffent

Et que leurs lignes fines

Rougissent l'air

Lestant le ciel pâle d'une couleur plus sûre,

Avant que les lointains qu'elles fixent ne s'évaporent

Mais ils ne font que se dissoudre et se dissoudre

Comme une succession de promesses, à mesure que j'avance. »


Ecorchée vive Alejandra dans « L'arbre de Diane » :

« expliquer avec des mots de ce monde

qu'un bateau est parti de moi en m'emportant »

Trois femmes « au bord de » en permanence. Et je marche avec elles sur la bordure du trottoir.


Bruyère


http://jardindombres.blogspot.com

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6 février 2009 5 06 /02 /février /2009 08:43


Une grande Dame



Je connais une Dame  exceptionnelle

De toutes les femmes, c'est la plus belle

Ma grande Dame est très appréciée

Toujours on l'accueille avec gaité

Elle est universelle et polyglotte

Elle vit partout, elle a la bougeotte

Elle est intemporelle, pas d'espace temps

Elle existe depuis la nuit des temps


Ma grande Dame a une sœur jumelle

Avec qui elle est toujours en duel

Elle s'habille des rayons de soleil

Et se nourrit des bleus du ciel

Sa couleur préférée, le blanc

Son double aime la pénombre

 La pluie et les jours sombres

Il cache son visage, agit dans l'ombre


Parfois sous le coup du désespoir

Quand on a mal et qu'on broie du noir

On la rejette, on l'accuse et on l'accable

De nos maux, on la rend seule coupable

Certains la torturent et attentent à ses jours

Mais comme elle est remplie d'amour

Elle s'accroche et ne nous lâche pas

Pour nous empêcher de faire le faux pas


Parfois elle nous envoie des épreuves

Car la vie n'est pas un roman fleuve

Elle nous rappelle que c'est un cadeau

Et de loin l'un des  plus beaux

Après une vie passée à l'aimer

Quand on a été heureux à ses cotés

Quand on est prêt à accepter son départ

On la remercie dans un ultime regard

Pour les bonheurs qu'elle nous a donnés



Ma grande Dame est de toutes la plus belle

Tout simplement  La Vie, elle s'appelle


Fransua


http://les-collages-et-poesies-de-fransua.over-blog.com/




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4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 20:33


Toujours dans mes pensées

ô vous Ma Grande Dame...



elle n'a pas de nom je n'ai pas son portrait

elle est restée la même en traversant l'Histoire

mon esprit recréant ce que le temps défait

garde précieusement ces rêves en mémoire



et je l'ai rencontrée à chacun des tournants

qu'évoquaient devant moi les prêtres et les sages

elle était là bien sûr au début des voyages

de cette humanité à travers les tourments



je la vois au dessus des pages de la Bible

visage souriant en face des combats

des mâles enragés de ce conte terrible

apaisant d'un seul un mot d'inutiles débats



dans les fables de Grèce et la gloire de Rome

délicate et splendide elle était toujours là

d'un regard étouffant la colère de l'homme

cette femme savait voyant  bien au-delà



puis elle a pu survivre à l'époque sauvage

à peine protégée par de fragiles toits

et dans tout ce qu'on doit appeler Moyen Age

Ma Dame est reine en Cour du Fol Amour Courtois



mais Ma Dame n'est pas une grande héroïne

elle est tout à la fois la bergère illettrée

la guerrière s'il faut tout de fer accoutrée

et la femme savante en poésie divine



elle est belle je crois et je dirai plutôt

qu'elle est tendre et jolie mais surtout avenante

au cœur si généreux sans le moindre défaut

une image sublime une femme envoûtante



mais Ma Dame n'est pas qu'un mirage subtil

l'image est dans mon cœur et j'ai cru reconnaître

sous les coups du hasard notre souverain maître

dans certains êtres  chers son aimable profil



si  j'ai fait maintes fois cette  rencontre amère

Ma Dame je ne n'ai pu vous garder bien longtemps

aujourd'hui, je le sais ce n'est plus un mystère

jamais je ne vous ai méritée sûrement



au moment de partir je ne crois plus grand-chose

dans cette confusion je ne dirai plus rien

de ces tristes échecs je soupçonne la cause

de l'idéal perdu le banal quotidien




jean-marie


www.passage1.com


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4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 20:28

La Grande Dame


Je me promène, je suis songeuse.

Je croise une maman avec son landau

Elle sourit à sa petite fille rêveuse

Que c'est beau !

Triste, je suis

De ne pas avoir donné la vie.

Je veux cacher mes larmes.

J'entre dans l'église

Loin du vacarme.

Sur un fond parme,

Je découvre la vierge

Avec l'enfant Jésus

Je lui offre un cierge

Son nom est écrit dessus

Marie, notre mère à tous

Tu es ma grande dame

Tu veilles sur nous tous

Avec tout ton charme.

Je repars avec un grand espoir

De ne pas te décevoir


Aubert 59


http:// aubert59.over-blog.fr/

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4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 16:02


Une grande  dame


Il y a tant de grandes dames !

Celle-ci le fut pour moi.

Vous ne la connaissez pas,

Elle restera dans l'anonymat.

Svelte et élégante,

Elle était, par alliance, devenue ma tante.

Née pour la ville, raffinée et cultivée,

Sa vie fut malmenée.

Une vie de domestique

Dans un cadre rustique

Qu'elle acceptât par amour

À quelques lieux d'un petit bourg.

Pourtant, de temps en temps

Bien trop rarement

Elle me prenait par la main

Moi qui n'était qu'une enfant

La craignant secrètement

Tout en l'admirant passionnément.

Heureuse connivence

D'instants de fausse adolescence,

Nous quittions la fête de famille

Pour courir à Versailles

Dans les couloirs du château

Admirer les collections de tableaux.

Par sa bouche, un peu en avance,

J'apprenais l'Histoire de France

         À travers les exploits

Des princes et des rois.


Souvenirs d'une petite fille qui a gardé la passion de l'Histoire de France, conjugué d'une affectueuse reconnaissance

Pour une grande dame, qui aura vécu dans l'ombre,

Une vie un peu sombre


ABC


http://detente-en-poesie.over-blog.com




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4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 15:55

La grande dame
 
Elle nous attend là , au bord de l’eau
elle n’a pas pris une ride et pourtant
elle accuse un certain âge
Elle s’est parée de son corset couleur marron glaçé
Son préféré
qu’elle fait régulièrement teindre.
Elle est bien serrée entre ses lacets adroitement enchevêtrés
Elle a posé sur sa tête un joli bibi rond
agrémenté d’une longue épingle argentée
vers les cieux pointée.
Le soir
elle se pare d’habits de lumière étincelants
elle fait miroiter de temps en temps ses diamants.
Elle se tient toujours très droite, très fière.
Elle contemple de son regard
comme un faisceau lumineux
sa ville qui l’a vue naître et qui depuis qu’elle est apparue
l’adore.
Elle subit sans sourciller les affres du temps
la neige, le soleil, la pluie,le vent
Elle a vu nombreux évènements dans sa vie
dont la guerre
Elle pourrait faiblir
mais non,elle est toujours là bien droite, bien fière.
Elle se laisse admirer et s’entendre dire par la terre entière
« Qu’elle est belle!
Quelle grande dame
……
cette
TOUR EIFFEL! »
 
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4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 15:43


C'était une grande dame... mais c'est étonnant les souvenirs.


Chez elle, je me souviens d'abord des toilettes. De la chasse d'eau qui faisait un bruit de mitraillette et qu'on tirait jusqu'à atteindre un chiffre rond au compteur... Qu'est-ce qu'on pissait pendant ces repas de famille ! Et j'en profitais pour feuilleter à chaque fois la même seule et unique bande dessinée rangée aux toilettes : « Illico & Presto », ça s'appelait, ou quelque chose comme ça.


Je me souviens aussi de cet affreux chien noir frisé en peluche. Je ne pense pas que je le trouvais affreux, d'ailleurs, à l'époque. Il était juste là. Avec ses yeux vides en plastique.


Et je me souviens bien sûr des quenelles. J'adorais ses quenelles. Je pensais en avoir mangé assez pour en garder le goût toute ma vie, mais non. Maintenant je cherche à le retrouver mais à ce jour aucune autre n'a su m'émoustiller les papilles comme les siennes. Je pourrais essayer d'en faire mais... je ne sais pas. Ce serait comme chercher toute sa vie à atteindre un sommet inaccessible. Comment égaler un souvenir probablement idéalisé ? Certainement idéalisé, ce n'était quand même que des quenelles...


Enfin je me souviens des « chiffres et des lettres ». Et d'une ou deux baffes mémorables. Et des biscuits à champagne. Du cosy-corner, aussi... allez savoir pourquoi.


Je me la rappelle grande, sévère, forte tête, fière... Attentive à tout et à tous. Toujours. Il y aurait mille choses étonnantes et remarquables à raconter de sa longue existence. Sa vie mériterait un roman. J'en suis certaine, mais j'en sais si peu.


C'était une grande dame mais ce ne sont que mille petits souvenirs anecdotiques qui font l'image que j'ai gardée d'elle.


Et ce n'est pas la lourdeur du passé mais simplement la joliesse du souvenir que j'ai donnée à ma fille en lui donnant son prénom.


Poupoune


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3 février 2009 2 03 /02 /février /2009 15:56

Marceline Desbordes-Valmore



Elle eut une enfance heureuse

Dans la campagne flamande,

Son « Sol natal »  qui hante

Son « Rêve d'une nuit triste. »

Son écoute précise de la nature

L'apparente à Nerval et Goethe.

La Révolution brisa sa famille

Et amena  des errances

Qui la rendit orpheline de mère.

Elle se fit attacher, en pleine tempête

Dans les haubans pour que les vagues

S'impriment mieux dans son âme.

Elle joue bientôt sur diverses scènes

A Paris, taquine la muse

Et fréquente « L'atelier d'un peintre,»

Ses railleries, la difficulté d'être femme

Alors qu'on se veut se prouver autre.

Ne pas être seulement la châtelaine 

Du « Grand Meaulnes » mais par la langue,

Rapprocher la femme de  l'homme

Comme Wordsworth ou Nerval encore.

Rapprocher l'homme de la femme

Avec la poétique prochaine de Latouche.

Oublier la scène trop classique du « Déluge »

De Girodet pour la puissance romantique

De ses « Funérailles  d'Atala », lire

Madame de Staël ou « René », vivre

Cette énigme obscure et brillante.

Le malheur d'être femme,

La première voix authentique,

De la poésie féminine

Des Temps modernes.

Des poèmes à Latouche,

L'égoïste, l'autre

A ceux dédiés à Prosper Valmore,

Le comédien, si proche.

 

Laura VANEL-COYTTE

http://www.lauravanel-coytte.com


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