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1 janvier 2013 2 01 /01 /janvier /2013 07:24

 

Rien ne sert de courir il faut partir à point.

 

Je suis bien marrie,

j’ai beau courir, je ne rattrape pas le temps perdu.

Qui parle de faire les choses à temps perdu.

Du temps perdu je n’en ai point.

Je me suis leurrée en me pressant sans cesse.

Qu’ai-je gagné quelques minutes par jour

Que j’ai aussitôt perdues dans des chimères.

Alors à quoi bon courir après les étoiles

Mieux vaut les contempler.

 

 

Lilou


http://www.lilou-fredotte.com
http://lilouettesoleil.canalblog.com


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31 décembre 2012 1 31 /12 /décembre /2012 18:30

Mini clafoutis aux olives

 


Mince, c’est déjà cuit, mon four va attendre la prochaine fournée…

Préparatifs avant l’arrivée des enfants. La télé est allumée, c’est là devant que je souffle un peu entre 2 cuissons, moi qui ne la regarde jamais dans la journée. On diffuse un film de très grande animation sur la création du monde

- 3 œufs – à grands renforts de volcans de synthèse hurlants plus féroces que des vrais

- 20 cl de crème fraîche -  la mer, les bactéries et tout le toutim, tout y passe à une vitesse folle

- 6 cuillerées de thym frais – jusqu’à l’arrivée de nos ancêtres les mammifères

- olives noires dénoyautées – aux formes bizarres mais muets ou bien couverts par la voix du très inspiré commentateur…

- sel poivre

- 1 cuillerée à soupe de maïzena

… Enfin l’homme arrive

- omelette – tout au moins ce qui lui ressemble d’après les échos que j’en ai de la cuisine 

- lait + crème + maïzena + thym + sel + poivre – il était temps, ce film est insupportable, où cela va-t-il nous mener ?

- mélanger les 2 – ce pauvre quadrupède est poursuivi par de féroces prédateurs et ses seules dents sans doute ne lui suffisent pas

- une demi olive noire – la terre ne brûle plus à présent, tout devrait lui permettre de se développer

- remplir chaque moule - mais il y a d’autres quadrupèdes qui lui veulent du mal.

- 10 minutes au four - Alors il décide de se lever sur ses 2 pattes de derrière afin de courir plus vite et d’échapper aux monstres, quel génie !

- servir chaud ou froid –Et le voilà qui court, qui court,

- Là c’est moi qui continue le film -  invente la roue, le chemin de fer, la fusée, le four à 200° et tout ce qui nous entoure…

La voilà la solution de la décroissance, ce sera ma bonne résolution pour 2013, remarchons à 4 pattes !

Bon appétit !

 


Pasfrevin


http://les.jeudis.de.pasfrevin.over-blog.com

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21 décembre 2012 5 21 /12 /décembre /2012 09:22

Travelling

 

Trois mois que tu m’écrases. Chaque fois que je me redresse, à nouveau tu me piétines. Mais même si, du matin au soir,  tu me marches sur la tête, mon intelligence simple me souffle qu’en vérité, c’est toi qui marches sur la tienne. Foi de brin d’herbe…

Neuf siècles que tu me grimpes dessus. Que tu te presses contre moi. Que tu m’assailles de ton désir cupide… Tes billets ont poussé autour de moi comme des champignons. Récemment sont apparues tes étincelles sans lumière, avides elles aussi, voleuses d’images ; elles crépitent de tous côtés dans une atmosphère d’orage. Sous mes yeux stupéfaits, une nouvelle guerre s’est déclarée autour de moi: celle de la meilleure photo, la plus originale, la mieux cadrée, la plus valorisante surtout pour ton profil Facebook… Tu crois que je ne sais pas ce que c’est ? Bien sûr, tu crois que je ne perçois rien de ton petit manège. Tu trouves juste que ça fait « branché » d’avoir posé à côté de moi, tu m’exhibes parmi tes souvenirs comme un trophée. De guerre lasse, j’ai au moins trouvé un stratagème pour t’empêcher de me monter dessus. En masse… Je penche maintenant suffisamment pour que mon ascension te soit interdite. Tu n’as plus de prise sur la tour de Pise (sauf celle de tes satanées mitrailleuses-cliqueuses). Ma pierre s’enfonce dans les sols meubles sans que tu soupçonnes la véritable cause de mon déséquilibre. Tu ne pénètreras plus l’intimité de mon corps blanc. Tu décrètes que les pierres n’ont pas de conscience. Mais toi ? …

Cinq millions d’années que je te contrôle. Que je tire les ficelles de ta pauvre intelligence dans l’obscurité. Ton actualité me laisse penser que j’ai encore un avenir prometteur devant moi. Tapie depuis ta Préhistoire dans la zone la plus reptilienne de ton cerveau, je te dirige et te manipule presque sans entraves. Tu ne te doutes même pas que je te gouverne. Moi, la grande Peur surgie du fond des temps, l’insécurité première et viscérale sur laquelle se base toute ta petite vie.

Quatre milliards et demi d’années que je brûle de m’ingérer dans tes affaires. Que je me désole du spectacle qui, faisceau après faisceau, entre dans ma lumière. Je continue à prendre soin de toi, l’enfant terrible de ma galaxie. Je continue à accepter patiemment que tu déshonores notre grande famille, et j’ai même encore assez de bonté pour te laisser utiliser ma chaleur et ma lumière pour tes nouvelles énergies « propres »… Il est heureux pour toi que je n’aie pas de volonté « propre ». Moi qui pourrais te détruire d’une seule éruption, parfois, je suis tenté de faire place nette sur ta planète pour te redonner une chance, pour ne plus bouillir ainsi de colère, de désespoir, de honte. Tu as de la chance que je ne sois pas roi, - un roi-Soleil aussi absolu que cet ancêtre à toi qui usurpa mon nom…

Des années-lumière que j’espère. Que tu mets mon amour à l’épreuve, seconde après seconde. Que je te défends, te soutiens, te protège contre la vindicte qui enfle. Que je t’épaule en silence avec une fidélité sans faille. Tous m’ont réclamé ta suppression. Surtout ces derniers temps... ces temps derniers. La Civilisation, la Nature, la Terre… plus personne ne te supporte.  Même les habitants des planètes dont tu ignores l’existence s’inquiètent de te voir mettre en danger l’univers entier… comment pourrions-nous te laisser faire sa « conquête » ?! Le chœur du monde est unanime : tu es la verrue du cosmos. Tu es le paria de la Création. Tu es le Raté d’entre toutes les espèces.

Il n’y a plus que moi pour te soutenir.

Il n’y a plus que moi qui croie en toi, qui ne crois pas en moi.

Maintenant, m’aideras-tu ?

 

 

Sylvie Ptitsa


http://www.lalutiniere.com


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21 décembre 2012 5 21 /12 /décembre /2012 09:20

Mais ça, c’était avant

 

Active. C’est ce que j’étais. A tous les sens du terme. Economiquement : j’exerçais un métier. Je l’aimais passionnément. Je me dévouais à lui corps et âme, je lui consacrais la majeure partie de ma vie, de mon temps, de mes forces : mes espoirs, mes défis, mes combats. Quotidiennement : même dans mon temps « libre », j’éprouvais le besoin de bouger, de m’« activer », d’être « efficace ». De remplir. Je m’en rends compte maintenant : j’avais une intime horreur (et une peur démesurée) du vide. De me retrouver face à cette sensation de béance intérieure, de néant absurde, total. Je me bourrais d’occupations et de passe-temps, choisis ou imposés, pour colmater ce vide. Je saturais mon espace et mon temps d’un fatras d’objets, d’intérêts, de relations, de rendez-vous pour ne pas pouvoir m’asseoir le plus petit instant face à cette source d’angoisse fondamentale : moi. Je ne voulais pas, surtout pas faire connaissance avec tous ces ennemis féroces et terrifiants tapis dans mon ombre. Je préférais nourrir l’ombre. C’était plus simple, plus sain, plus rassurant, plus rentable… plus « payant ».

Ca, c’était avant.

Avant le « temps mort ». Accident, retraite, licenciement, pause… ce temps porte un nom différent pour les uns et les autres, mais sa réalité brutale est la même pour tous. La seule chose qui diffère, c’est la façon de l’aborder, de le vivre. J’ai d’abord nié. En bloc. Des mois durant, j’ai été dans un refus et une rage bouillants d’avoir dû « m’arrêter ». Ma pensée déchaînée tournait en moi comme un fauve en cage. Je ne voulais pas de cette vie « au rabais ». Je me sentais inexistante, diminuée, bafouée. Plus tard vinrent l’abattement, la dépression… Il m’a fallu du temps pour apprivoiser ce nouveau mode de vie. Pour apprendre à aimer la lenteur, le silence… même la solitude. J’ai fini par retrouver un travail, oui… un travail de deuil. D’autant plus ardu que j’avais amoncelé, ces années durant, tant d’obstacles contre lui, tant de barrières entre moi et moi… Il m’a fallu errer dans des plaines d’accalmie, franchir des pics de révolte, m’extirper de marécages infestés de vermine… combattre, un à un, mes illusions, mes retards, mes cauchemars.

Ce fut long. Et âpre.

Aujourd’hui, je contemple les « actifs » (les hyperactifs !), cette horde grandissante autour de moi, non plus avec envie, mais avec une compassion où n’entrent plus ni dédain, ni fiel. Je les regarde courir, je les écoute vrombir, je sens la trépidation de leur « activité » faire trembler la planète… et je les plains. De ne rien savoir encore de l’essentiel. De passer à côté de tous ces détails infimes qui rendent la vie belle, unique, précieuse.

Par une alchimie qui me dépasse, mon temps mort a fini par devenir vivant, vibrant. Il rayonne d’une vie cachée dont ils n’ont pas idée. De mon lit, immobile entre mes quatre murs, je fais le vœu qu’à leur tour ils puissent un jour entrer dans ce mystère, avant que la vie ne les stoppe en pleine course.

 

 

Sylvie Ptitsa

 

http://graines-d-esperance.over-blog.com


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19 décembre 2012 3 19 /12 /décembre /2012 07:37

                                      Mais où cours-tu ?

 

Je cours, je cours

 

                          Vers mon univers

                                 La- bas……..

                   Mon idéal que je me suis forgé

                                 Là- bas…….

                   Pour oublier et me ressourcer

                                 Là- bas…….

 

Oui ; j’entends bien mais crois tu que là bas ………

 

Je cours, je cours

 

                      Vers ce refuge calme et serein

                                 Là- bas …….

                    A l’intérieur de ma galaxie onirique

                                 Là- bas …….

              Pour m’imprégner de cette parfaite harmonie

                                 Là- bas …….

                      Pour m’enivrer de tous ces mots

                                 Là- bas ……..

 

Je perçois tout cela, mais ne crois tu pas que ce monde dont tu parles est un peu trop idyllique ?

-non, il suffit de le penser très fort, de le créer, de l’l’ancrer et  de le faire perdurer.

- Hum !!

- Alors ; tu me suis, fais vite car bientôt je ne serai plus qu’un petit point noir à l’autre bout de l’arc en ciel.

 

 

 

                                                                          Elise.

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16 décembre 2012 7 16 /12 /décembre /2012 20:49

LA COURSE DES NUAGES.

 


La terre est entourée d’un voile de nuage mais qu’est ce qui fait courir les nuages ? Le vent bien sûr il les ballade, les balaye, joue avec eux, d’avant en arrière, de droite à gauche, les disperse, les fait voyager. Il les emmène de pays en pays, de ville en ville, de région en région selon ses envies.

Dans sa course autour du monde, nos nuages se transforment tentant d’échapper à Monsieur vent. Ils sont légers et flottant dans un ciel bleu d’été souriant au soleil radieux, prennent des tons gris dans un ciel d’automne tout triste, lassant couler leurs larmes inondant le paysage désolé et trop lourd pour être chassé, tout blanc, gonflés de neige dans un ciel froid d’hiver, glaçant  le vent qui en frissonne encore, chargés d’électricité, grossissant, noircissant, vrombissant, jetant ses éclairs avec colère quand vient l’orage, électrisant notre vent qui ne peut s’approcher sans se prendre une décharge.

Mais le vent est malin, lui aussi a ses ruses  il les emprisonne et les fait tourbillonner dans un cyclone, d’où ils ne peuvent s’échapper,  les secoue lors d’une tempête où ils sont ballotés, projetés dans tous les sens étourdis, ne sachant plus où donner de la tête.

A la fin ils courent le monde telle une belle ronde essayant d’échapper à ce vent qui, une fois qu’il les a capturés les disperse et les renvoie vers un lointain horizon.

 


Anne DELMONT


Cree-anne.over-blog.com

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12 décembre 2012 3 12 /12 /décembre /2012 18:50

S'enfuir, courir...

 

La nuit tombe. La grenouille en amazone sur sa souris pur-sang

Poursuit toujours le chacal. Sa bougie va s’éteindre, elle le sait…

Mais elle fait face – l’embrayage grimaçant.

 

Ses hurlements portent au loin en une cacophonie macabre.

 

Elle fait feu de tout bois.

Laissant là, sur la route, les gueuses qui font de l’auto-stop,

La jambe dévoilée.

 

Ne s’y arrêtant pas, sans un regard, toute à sa fureur…

 

 

Cavalier


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12 décembre 2012 3 12 /12 /décembre /2012 18:46

T'es toi quand tu cours

 

 

  Je suis moi quand je cours,

Moi même, quand je suis lovée au creux de lui...

Je suis moi aussi quand je connivence avec mes filles,

Moi, quand je doute de moi...

 

Je suis celle qui écris maladroitement, spontanément, sans pouvoir anticiper...

Suis-je moi encore,  quand je brave le froid que je maudis...

 

 Qui suis-je, quand sur ce blog je parle toute seule...à tous.

Qui suis-je quand je pense à hier, aux lendemains improbables, à mon présent que j'affectionne...

 Quand je rêve, qui suis-je dans cet ailleurs, indicible.

 Qui suis-je encore quand j'entends ma voix, que je ne reconnais pas.

 

 Quand je cours, je suis moi, sans voix,

Corps élancé, vers un défi à peine exploré...

 

Quand je sens le temps qui me défie, je suis quiche,

Causette, quand je suis fille, femme...

Je ne sais plus où j'en suis, quand sur les ondes on m'invective,

citoyenne, femme, concernée, désespérée...

 Le monde m'interroge: Qui es-tu, d'où tu parles,

Alors, je crie en silence, je me sens transparente...

 

Quand je suis dans ses bras, je suis moi,

Une parmi d'autres, mais une seule,

là je sais qui je suis, où je suis...

 

 

Je navigue en silhouette, en noir et blanc.

Mais je ne sais toujours pas où je vais,

pourtant je connais ma route,

les chemins empruntés.

J'ignore les  voies à venir,

Je ne veux rien voir venir, a-venir...

 

Je peins à la manière de je ne sais qui,

de moi peut être, sans que je puisse vous dire

ce que je fais avec mes couleurs.

 

Bavarde, je cherche, je questionne,

J'emplis mes poumons du souffle du langage,

Pour aller à votre rencontre...

Je cours, le regard fixé sur l'instant, sans un mot...

Tais toi quand tu cours...

 

Je sens alors le bonheur d'être au point d'arrivée,

toujours à recommencer,

pour aller plus loin dans une quête, 

celle du mystère ...

  Sur les contours d'un territoire, je cours après le vent de ma vie ...

 

 

  LN


www.tanamo.over-blog.com

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3 décembre 2012 1 03 /12 /décembre /2012 02:22

Une autre course à l’échalote

 

va donc cours vole et puis reviens
tu as couru pour pas grand-chose
pour une place quelques biens
et des honneurs comme la rose
éphémère en ses jardins
  on ne sait plus où l'on habite
mais on  y  va toujours plus vite

pauvres pantins

 

    les rois de la parlote
de la langue de bois
ceux qui portaient parfois
la robe ou la culotte
luttent pour le pouvoir
c'est la quête au caviar
la course à l'échalote

 

c'est le bâton ou la carotte

  que vont faire céans
ces nobles condiments
de notre oignon si proche
je n'ai point le savoir
tout au fond de ma poche
mais dans ce pot au noir
une lueur d'espoir

n'est pas si moche

 

 un clerc de la basoche
connaîtrait le secret

 jadis le coureur on lançait
avant toutes prouesses
en l'attapant au col
et par la peau des fesses
dans un superbe envol

 

bravo Guignol

 notre savantissime
en conviction intime
assimile l'oignon
à l'auguste derrière
puis le peuple confond
la plante potagère
et parle d'échalote

à la place d'oignon

  je ressens comme un doute
êtes-vous convaincus...
  pas trop  j'en suis confus
compagnons sur la route
pas question de refus
 il faut gagner sa croûte
ne pas montrer qu'on est exclus

 

courir coûte que coûte

 

 

jean-marie

www.passage1.com 

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2 décembre 2012 7 02 /12 /décembre /2012 11:12

 

“Courir après le temps”

 

Que nous soyons adultes, que nous soyons enfant, nous courrons tous après le temps ! La vie est ainsi faites, chaque jour le démontre, nous courrons tous contre la montre. Chacun à sa façon et chacun à son rythme les yeux fixés sur le cadran, comme dans le conte d'Alice, le fait le Lapin blanc. Dès le lever du jour cette petite famille au petit déjeuner peu à peu s'éparpille, Le père part au travail, les ainés au lycée, le cadet à l'école et les petits derniers auxquels auparavant la mère donne la becquée, seront par celle-ci emmenés à la crèche, cependant l'heure tourne et elle se dépêche, le trajet n'est pas long, mais la route encombrée. Toilette, habillement, les doudous. Enfin prêts ! Enfin presque, car au tableau de bord elle prend connaissance, qu'incessamment sous peu, elle n'aura plus d'essence; alors évidemment elle fait un détour pour aller faire le plein au prochain carrefour. Les enfants déposés il lui reste peu de temps pour arriver à l'heure chez son premier patient. Et comme chaque jour la pause déjeuner, se fera sur le pouce chacun de son côté. Enfin le soir venu chacun rentre au bercail, terminé patients, crèche, école, lycée, travail. Tandis que la mère vaque à ses occupations, le père sur le Net branche sa connexion, les aînés quant à eux aux copains téléphonent accolant illico l'oreille à leur I Phone. Lorsque les deux bambins après qu'ils soient lavés, nourris et après maints essais, finalement couchés, le reste de la famille aussitôt se rassemble autour de la grand' table pour un dîner ensemble. La mère comme chaque soir vient alors déposer le repas préparé dans le four micro ondes, qui délicatement mitonna….quelques secondes et qui est avaler aussi rapidement le tout ayant compté juste une heure au cadran de l'horloge trônant sur un mur su salon. Tous les jours s'écoulant de la même façon. Excepté le week-end, car en fin de semaine plus personne ne se presse, le temps tout seul s'égraine.

 

Dominique
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