Le blog a été ouvert le 24 janvier 2008. Jusqu'au 1 mars 2017, Azalaïs, Lilousoleil, Polly et Quichottine vous y ont proposé des jeux d'écriture en toute simplicité.
La bique et le loir La petite bique se sentait si seule. Elle voyageait depuis si longtemps, quand tout à coup, elle trébucha sur un livre. D’abord, elle rouspéta, mais seule comme cette bique savait le faire : « crotte de bique », fallait que je tombe...
Lire la suiteDu roman : " Eux sur la photo " Deux lettres envoyées, la troisième est la fin que j’aurais aimé lire. Ma chère Hélène Je viens de terminer la lecture du journal de Jean. Voila qui jette un nouvel éclairage sur les choses. Décidément, une épaisseur de...
Lire la suiteLe lion de Patricia J’étais au départ l’auteure qui avait souhaité ajouter à son palmarès une séance de dédicace dans une grande librairie renommée du centre-ville de Limoges ; je croyais avoir frappé à la bonne porte pour attraper des crampes au poignet...
Lire la suiteUne photo Beaucoup d'écrivains ont utilisé la description minutieuse d'une photo pour exprimer leurs souvenirs. Dans son livre « Les années », Annie Ernaux s'en sert pour écrire une nouvelle forme d'autobiographie, impersonnelle et collective. « La photo...
Lire la suiteLettre ouverte et inachevée à Olivier Adam Vous êtes un homme, je suis une femme, vous pourriez être mon fils, je pourrais être votre mère. Rien que cela fait de nous deux des êtres totalement dissemblables. Et pourtant, je lis votre récit avec l'insoutenable...
Lire la suiteNumber Two « Tu exagères ! -De toute façon, t’es jamais contente. - C’est vrai. Mais tout de même, tu aurais pu te tenir un peu. -C’était à toi de rectifier le tir, il me semble. -Tu m’as eue par surprise. J’étais tellement stupéfaite de te voir apparaître...
Lire la suiteFaux départ. C'est l'histoire d'un pianiste sur l'océan, né sur le Virginian, un paquebot, en 1900. Adopté par un mécanicien noir, il ne pourra jamais descendre à terre. On ne sait comment il apprend à jouer en virtuose du piano, mais c'est ainsi, c'est...
Lire la suiteCoup de chapeau : "Chaque fois que Je tiens un livre dans ma main je me sens rassuré sachant Qu'à tout moment Je peux m'asseoir Sur un banc et l'ouvrir" De tes genoux à tes yeux De tes yeux à ton cerveau De ton cerveau à ton imaginaire Voyager sans cesse...
Lire la suiteDes mots dans la Terreur intime Prison Saint-Lazare - Paris le 1er juillet 1794 « Salut et Fraternité citoyen André Chénier ! - pas de ça ici ! laissez-moi ! partez sur le champ ! - mon ami , je vous entends bien mais les gardes nous surveillent... -...
Lire la suiteGAVROCHE …Des deux pièces qui battaient maintenant la barricade de la rue de la Chanvrerie, l'une tirait à mitraille, l'autre à boulet….. Combien de fois avais-je lu "Les Misérables", je ne saurais le dire, mais j'en connaissais toutes les répliques et...
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