Telle …..
Telle une déesse
Forte de cette volupté
ô, toi femme enchanteresse
on ne cesse de t’admirer…..
Au regard de ta beauté
drapée de ce voile d’apparat
dans le calme et la sérénité
bercée, par une douceur d’opéra…..
Te voilà transportée
Dans ces doux pays de rêves
ô, toi femme tant aimée
arrive enfin le moment de la trêve……
De loin et en silence, on ne cesse de te contempler.
Elise.