Rêverie
Quand les doigts délicats, longs et fins de l’artiste
Sur les touches d’ivoire comme fins papillons
Se posent et courent encore jouant à l’unisson
La maîtrise de son art me fait l’âme bien triste
Toute note pour moi se transforme en des mots
Et ces mots que j’entends poussent à la rêverie
La douceur de l’andante, les plaintes de l’adagio
Me bercent de langueur et de mélancolie
Dominique
http://antidotes.over-blog.com/