De tes bras en peau d’écume
Qui caressent puis étreignent
De ton chant gorgé de sève
Qui exalte puis s’achève
En soupirs tout alanguis
De la couleur de tes heures
Qui varie du bleu au gris
De l’ardeur de ta mouvance
Quand se lève un vent brûlant
De la peur de ton silence
Quand au loin t’es exilé
Je me souviendrais de tout
De ton souffle embrumé
Qui se coule sur ma nuque
De l’infini de ton royaume
Accueillant vents et marées
De ton rythme apprivoisé
Qui me saoule et me berce
Pour ensuite m’enlever
Je me souviendrais de tout
C’était la première fois
Balaline
Voir sa présentation sur ce blog
http://azacamopol.over-blog.com/article-presentation-de-balaline-61019055.html
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