J’avais oublié
J’avais oublié : qu’« il faut manger pour vivre et non vivre pour manger »
(Molière)
J’avais oublié que : « l’homme sans patience est comme une lampe sans huile »
(Alfred de Musset)
J’avais oublié qu’ :« on ne parvient à rien de grand sans qu’il en coûte beaucoup »
(Cicéron)
J’avais oublié que : « la liberté, c’est l’indépendance de la liberté »
(Epictète)
J’avais oublié que : « les difficultés sont faites pour exciter et non pour décourager.L’esprit humain doit se fortifier dans la lutte.
(W.E.Thanning)
J’avais oublié que :-« la politesse coûte peu et achète tout »
(Montaigne)
J’avais oublié que : « l’ennui, qui dévore les autres hommes au milieu même des délices, est inconnu à ceux qui savent s’occuper par quelque lecture. Heureux ceux qui aiment lire »
(Fénelon)
J’avais oublié que : « comme tu traites tes parents, tes enfants te traiteront »
(Fhalès)
J’avais oublié qu’-« on ne fait son bonheur qu’en s’occupant de celui des autre »
(Bernardin de Saint-Pierre)
J’avais oublié que : « la conscience est le meilleur livre de morale nous ayons : c’est celui que l’on doit consulter le plus »
(Pascal)
J’avais oublié : « que la curiosité des enfants est un penchant de la nature qui va au-devant de l’instruction ;
(Fénelon)
Si nous restons de grands enfants curieux
Dans ce monde qui bouge d’ingratitude
Transmettons leurs quelques habitudes
Traces de moralité, pour n’être oubliés d’eux !
J’avais oublié
Ce carnet de morale
Dans une grande malle
Comme une banalité
Mamylilou
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