Du bleu, encore du bleu…
Un tourbillon de vie accroché aux nuages
Une marée de rêves longuement adoucis,
Le ciel vient de puiser la mer
Elle s’y laisse noyer.
Du bleu, encore du bleu
Ce bleu aux rides argentées
Frissonne puis s’enroule
En délices d’espoir.
Nous étions deux soupirs
Deux âmes tristes errantes
En recherche d’amour.
La mer a laissé sourdre
Le tempo de ses sens,
Sur son écume blanche
S’accordent nos deux corps.
Du bleu, encore du bleu
Ce bleu qui chavire en cadence
Et tendrement nous porte vers demain.
Balaline