20 mai 2008
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Mon éprouvante délicieuse première fois
Maman m'avait dit : « Nous devons coucher beaucoup de monde, toi, tu partageras ta chambre avec Anne, la fille de nos amis »
C'était la fête à la maison, vers 11 heures du soir, je dus rejoindre mon lit. A six ans, on n'a pas la permission de veiller plus tard.
Dans la nuit, le bruit de la porte m'éveilla, puis une ombre doucement se pencha sur moi, je fermai alors les yeux et j'ouvris grande mes oreilles. Les bruits de pas, des bijoux qui s'entrechoquent, c'était Anne, la jeune fille d'une vingtaine d'années qui venait à son tour se coucher. Elle n'alluma pas la lumière puisque la chambre était juste un peu éclairée par le réverbère de la rue.
De mon lit, les yeux entre ouverts, je regardai alors, pour la première fois, une femme se dévêtir,... se découvrir. Lentement, sans faire trop de bruit - elle ne voulait sans doute pas me réveiller- elle se déshabilla en commençant par son haut. Elle se trouvait juste non loin de moi et j'apercevais émerveillé les contours de ses seins. Un ravissement.
Mon cœur s'accéléra et ma respiration devint de plus en plus forte. Mon corps tout entier se faisait l'écho de ce que je ressentais. Elle dégrafa la ceinture de son pantalon et en un même mouvement se retrouva nue. Je puis alors contempler un instant le galbe de ses hanches. Sa silhouette tout entière dans cette pénombre m'enivrait de bonheur. J'assistais au plus beau spectacle que la nature m'est donnée de voir.
Mais celui-ci était sans doute trop intense pour moi, mon cœur continuait à battre de plus en plus vite dans ma petite poitrine, la chaleur, que je dégageai, devenait insoutenable, et, ne supportant plus autant de tension, je dus bouger. Elle se retourna et regarda dans ma direction. Je crus alors qu'elle m'ait vu éveillé. Je me figeai telle une statue, bloquant ma respiration et attendant qu'elle soit enfin dans son lit. Qu'elles furent longues ces quelques secondes où elle cherchait dans son sac sa chemise de nuit, pour qu'elle l'enfila !
Elle se coucha enfin, j'avais ma dose d'adrénaline ! Et je n'en pouvais plus, je devais m'apaiser, non pas sans difficulté tant je pensais à cette merveilleuse découverte.
Je venais de vivre une éprouvante - délicieuse première fois !
J'avais découvert l'enchantement d'une merveille au monde
La nudité d'une femme.
C'était la fête à la maison, vers 11 heures du soir, je dus rejoindre mon lit. A six ans, on n'a pas la permission de veiller plus tard.
Dans la nuit, le bruit de la porte m'éveilla, puis une ombre doucement se pencha sur moi, je fermai alors les yeux et j'ouvris grande mes oreilles. Les bruits de pas, des bijoux qui s'entrechoquent, c'était Anne, la jeune fille d'une vingtaine d'années qui venait à son tour se coucher. Elle n'alluma pas la lumière puisque la chambre était juste un peu éclairée par le réverbère de la rue.
De mon lit, les yeux entre ouverts, je regardai alors, pour la première fois, une femme se dévêtir,... se découvrir. Lentement, sans faire trop de bruit - elle ne voulait sans doute pas me réveiller- elle se déshabilla en commençant par son haut. Elle se trouvait juste non loin de moi et j'apercevais émerveillé les contours de ses seins. Un ravissement.
Mon cœur s'accéléra et ma respiration devint de plus en plus forte. Mon corps tout entier se faisait l'écho de ce que je ressentais. Elle dégrafa la ceinture de son pantalon et en un même mouvement se retrouva nue. Je puis alors contempler un instant le galbe de ses hanches. Sa silhouette tout entière dans cette pénombre m'enivrait de bonheur. J'assistais au plus beau spectacle que la nature m'est donnée de voir.
Mais celui-ci était sans doute trop intense pour moi, mon cœur continuait à battre de plus en plus vite dans ma petite poitrine, la chaleur, que je dégageai, devenait insoutenable, et, ne supportant plus autant de tension, je dus bouger. Elle se retourna et regarda dans ma direction. Je crus alors qu'elle m'ait vu éveillé. Je me figeai telle une statue, bloquant ma respiration et attendant qu'elle soit enfin dans son lit. Qu'elles furent longues ces quelques secondes où elle cherchait dans son sac sa chemise de nuit, pour qu'elle l'enfila !
Elle se coucha enfin, j'avais ma dose d'adrénaline ! Et je n'en pouvais plus, je devais m'apaiser, non pas sans difficulté tant je pensais à cette merveilleuse découverte.
Je venais de vivre une éprouvante - délicieuse première fois !
J'avais découvert l'enchantement d'une merveille au monde
La nudité d'une femme.
Ange